Astérix gladiateur
La BD commence avec la visite du préfet des Gaules, Caligula qui vient rendre visite au Centurion Gracchus. Le préfet lui dit qu’il part en congé à Rome et que la coutume veut qu’il apporte à César un beau cadeau : il a pensé à lui ramener un des Gaulois. Le Centurion se plaint du fait qu’ils sont irréductibles, le préfet lui dit que il y en a un, un peu plus inoffensif : le barde Assurancetourix. Donc, un soldat romain le capture « au péril de sa vie, dit-il ». Le centurion dit au préfet que ce qui est à craindre c’est les représailles des Gaulois. Quand le chef Abraracourcix se rend compte de l’enlèvement il décide d’organiser une expédition punitive. C’est pour ça que tous les guerriers gaulois boivent la potion magique qui leur donne une force invincible, sauf Obélix parce qu’il est trop fort. Le chef les harangue et il leur dit que ils doivent donner une bonne leçon aux Romains et que la seule chose qu’ils ont à craindre c’est que le ciel leur tombe sur la tête. Tandis que le centurion harangue les Romains en leur disant que la seule chose que ils ont à craindre ce sont les Gaulois.
Les Gaulois se dirigent vers le camp romain pour sauver le barde et ils luttent avec les légionnaires. Après avoir gagné la bataille, le centurion leur dit que le barde est en train de voguer à bord d’une galère en direction de Rome, pour être offert en cadeau à César.
Pendant ce temps, le barde est sur le chemin de Rome sur le bateau où il veut chanter aux rameurs pour leur donner du courage. Mais quand ils l’entendent chanter, ils crient qu’ils préfèrent le fouet aux chansons du barde.
Dans le village, les Gaulois décident d’aller à Rome pour délivrer le barde : il chante mal mais il est bon camarade. Astérix et Obélix vont à la plage pour prendre un bateau qui les emmène à Rome. Astérix fait de l’auto-stop et une galère phénicienne entre dans la plage pour les recueillir. Quand ils naviguent en haute mer, ils s’aperçoivent qu’une galère pirate approche. Après ils se battent contre eux et ils font couler la galère pirate.
Le navire romain est arrivé à Rome et le barde a été porté à César. Comme le barde n’a pas le corps d’un gladiateur, César a dit de le jeter aux lions.
Ensuite, la galère phénicienne arrive à Rome. Les deux Gaulois entrent dans un restaurant gaulois où le propriétaire leur dit d’aller chez lui pour parler. Mais avant d’aller chez le gaulois, ils vont dans un sauna pour prendre des bains. Là, un Romain a été surpris avec leur corps car il pense qu’ils pourraient être de grands gladiateurs.
Ils quittent le sauna et se dirigent vers la maison du gaulois. Il leur dit que le dresseur de gladiateurs cherche des hommes pour les jeux du cirque et les irréductibles gaulois sont très recherchés. C’est pour ça que les deux se dirigent cette nuit-là à une auberge en face du cirque pour y loger. Le lendemain matin, ils essayent de lier conversation avec des gardes du cirque pour savoir où est enfermé le barde. Ils apprennent où est enfermé le barde mais quand ils vont voir, il a été changé de cachot. Comme d’habitude ils se battent contre les gardes romains et ils doivent fuir.
Pendant ce temps, chez Caius Obtus on ordonne que tout le personnel parcoure la ville pour attraper les deux gaulois : il offre 10.000 sesterces à celui qui pourra les capturer. Par conséquent, tous les gens les cherchent et ils essayent de les attraper. Mais ils échappent toujours. Ils retournent au sauna où ils retrouvent le dresseur. Ils lui demandent de les entraîner. Donc, Il les invite à sa maison et une fois arrivés, il les présente à l'entraîneur Briseraudius.
L’entraîneur les mène à la caserne des gladiateurs et il se bat avec eux : bien sûr, il perd. Puis l’entraîneur explique à Obélix comment se battre comme rétiaire. Obélix change le trident par les poings et il jette le filet sur l’entraîneur comme s'il était à la capture de poissons. L’entraîneur démissionne et il dit au dresseur qu’il veut retourner dans la manufacture de dentelles de son père. Lorsque le dresseur va voir ce qui se passe à la caserne des gladiateurs, il voit tous les gladiateurs jouer comme des enfants. Il se fâche beaucoup.
Le dresseur montre le programme des jeux du cirque à César. Et César dit que si le peuple est content des jeux, il lui donnera beaucoup d’argent mais sinon, il le donnera aux lions.
Puis ils partent à la recherche de son ami en prison. Mais ils vérifient uniquement si le barde va bien, puis ils vont au cirque. D'abord, ils sortent en conduisant une voiture parce que le pilote est tombé malade. Tout d'abord, ils gagnent la course de chars. Puis, quand ils quittent les lions, le barde chante et les lions fuient et se cachent dans la cage. César ordonne aux soldats d’emporter le barde. Finalement, le numéro des gladiateurs : ça va être du sang, un combat à mort. Les gladiateurs crient « Avé César, morituri te salutant ». Astérix et Obélix disent à leur tour « Salut vieux Jules ». Mais Astérix leur ordonne de jeter les armes et de jouer comme des petits enfants. César ordonne d’envoyer une cohorte de ses meilleurs légionnaires. Astérix boit la potion magique et les deux se battent contre l’ensemble de la cohorte. Le public s'amuse et se met à crier « Vivent les Gaulois ! » César dit qu'il les récompensera: ils leur demande ce qu'ils veulent parce qu'il est très généreux.
Astérix lui demande quatre choses : Il lui demande de rendre la liberté à leur barde, de les laisser retourner en Gaule, de rendre la liberté aux gladiateurs et de leur prêter le dresseur.
Finalement, ils s’embarquent dans la galère phénicienne : le dresseur c’est celui qui rame.
Les trois gaulois arrivent sur la côte, à leur village où tout le village célèbre la fête final. Le barde finit bâillonné comme d'habitude, pour qu’il ne puisse pas chanter.
La BD commence avec la visite du préfet des Gaules, Caligula qui vient rendre visite au Centurion Gracchus. Le préfet lui dit qu’il part en congé à Rome et que la coutume veut qu’il apporte à César un beau cadeau : il a pensé à lui ramener un des Gaulois. Le Centurion se plaint du fait qu’ils sont irréductibles, le préfet lui dit que il y en a un, un peu plus inoffensif : le barde Assurancetourix. Donc, un soldat romain le capture « au péril de sa vie, dit-il ». Le centurion dit au préfet que ce qui est à craindre c’est les représailles des Gaulois. Quand le chef Abraracourcix se rend compte de l’enlèvement il décide d’organiser une expédition punitive. C’est pour ça que tous les guerriers gaulois boivent la potion magique qui leur donne une force invincible, sauf Obélix parce qu’il est trop fort. Le chef les harangue et il leur dit que ils doivent donner une bonne leçon aux Romains et que la seule chose qu’ils ont à craindre c’est que le ciel leur tombe sur la tête. Tandis que le centurion harangue les Romains en leur disant que la seule chose que ils ont à craindre ce sont les Gaulois.
Les Gaulois se dirigent vers le camp romain pour sauver le barde et ils luttent avec les légionnaires. Après avoir gagné la bataille, le centurion leur dit que le barde est en train de voguer à bord d’une galère en direction de Rome, pour être offert en cadeau à César.
Pendant ce temps, le barde est sur le chemin de Rome sur le bateau où il veut chanter aux rameurs pour leur donner du courage. Mais quand ils l’entendent chanter, ils crient qu’ils préfèrent le fouet aux chansons du barde.
Dans le village, les Gaulois décident d’aller à Rome pour délivrer le barde : il chante mal mais il est bon camarade. Astérix et Obélix vont à la plage pour prendre un bateau qui les emmène à Rome. Astérix fait de l’auto-stop et une galère phénicienne entre dans la plage pour les recueillir. Quand ils naviguent en haute mer, ils s’aperçoivent qu’une galère pirate approche. Après ils se battent contre eux et ils font couler la galère pirate.
Le navire romain est arrivé à Rome et le barde a été porté à César. Comme le barde n’a pas le corps d’un gladiateur, César a dit de le jeter aux lions.
Ensuite, la galère phénicienne arrive à Rome. Les deux Gaulois entrent dans un restaurant gaulois où le propriétaire leur dit d’aller chez lui pour parler. Mais avant d’aller chez le gaulois, ils vont dans un sauna pour prendre des bains. Là, un Romain a été surpris avec leur corps car il pense qu’ils pourraient être de grands gladiateurs.
Ils quittent le sauna et se dirigent vers la maison du gaulois. Il leur dit que le dresseur de gladiateurs cherche des hommes pour les jeux du cirque et les irréductibles gaulois sont très recherchés. C’est pour ça que les deux se dirigent cette nuit-là à une auberge en face du cirque pour y loger. Le lendemain matin, ils essayent de lier conversation avec des gardes du cirque pour savoir où est enfermé le barde. Ils apprennent où est enfermé le barde mais quand ils vont voir, il a été changé de cachot. Comme d’habitude ils se battent contre les gardes romains et ils doivent fuir.
Pendant ce temps, chez Caius Obtus on ordonne que tout le personnel parcoure la ville pour attraper les deux gaulois : il offre 10.000 sesterces à celui qui pourra les capturer. Par conséquent, tous les gens les cherchent et ils essayent de les attraper. Mais ils échappent toujours. Ils retournent au sauna où ils retrouvent le dresseur. Ils lui demandent de les entraîner. Donc, Il les invite à sa maison et une fois arrivés, il les présente à l'entraîneur Briseraudius.
L’entraîneur les mène à la caserne des gladiateurs et il se bat avec eux : bien sûr, il perd. Puis l’entraîneur explique à Obélix comment se battre comme rétiaire. Obélix change le trident par les poings et il jette le filet sur l’entraîneur comme s'il était à la capture de poissons. L’entraîneur démissionne et il dit au dresseur qu’il veut retourner dans la manufacture de dentelles de son père. Lorsque le dresseur va voir ce qui se passe à la caserne des gladiateurs, il voit tous les gladiateurs jouer comme des enfants. Il se fâche beaucoup.
Le dresseur montre le programme des jeux du cirque à César. Et César dit que si le peuple est content des jeux, il lui donnera beaucoup d’argent mais sinon, il le donnera aux lions.
Puis ils partent à la recherche de son ami en prison. Mais ils vérifient uniquement si le barde va bien, puis ils vont au cirque. D'abord, ils sortent en conduisant une voiture parce que le pilote est tombé malade. Tout d'abord, ils gagnent la course de chars. Puis, quand ils quittent les lions, le barde chante et les lions fuient et se cachent dans la cage. César ordonne aux soldats d’emporter le barde. Finalement, le numéro des gladiateurs : ça va être du sang, un combat à mort. Les gladiateurs crient « Avé César, morituri te salutant ». Astérix et Obélix disent à leur tour « Salut vieux Jules ». Mais Astérix leur ordonne de jeter les armes et de jouer comme des petits enfants. César ordonne d’envoyer une cohorte de ses meilleurs légionnaires. Astérix boit la potion magique et les deux se battent contre l’ensemble de la cohorte. Le public s'amuse et se met à crier « Vivent les Gaulois ! » César dit qu'il les récompensera: ils leur demande ce qu'ils veulent parce qu'il est très généreux.
Astérix lui demande quatre choses : Il lui demande de rendre la liberté à leur barde, de les laisser retourner en Gaule, de rendre la liberté aux gladiateurs et de leur prêter le dresseur.
Finalement, ils s’embarquent dans la galère phénicienne : le dresseur c’est celui qui rame.
Les trois gaulois arrivent sur la côte, à leur village où tout le village célèbre la fête final. Le barde finit bâillonné comme d'habitude, pour qu’il ne puisse pas chanter.
Très bien, Juanjo, je vois que tu practiques faire ta thèse.
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